Sablés aux noisettes sans gluten, à personnaliser

Ça y est, l’été indien semble terminé, on ressortirait presque les gants et les bonnets… Doucement mais sûrement, les fêtes approchent, ça sent les moments cocooning au coin du feu sapin. C’est donc le moment de ressortir les recettes gourmandes qui font du bien, et évidemment, toujours sans gluten !

Celle-ci, ça fait un moment que je ne l’ai pas faite, mais j’ai envie de m’y remettre et pour l’occasion, je partage donc la recette avec vous. Elle a déjà été approuvée à deux occasions : le mariage de ma sœur aînée, et « l’anniversaire » de mon équipe de Quidditch.

biscuits_go-BS

Pour le mariage, c’était un grand moment, et les mariés avaient tout préparés pour cette belle cérémonie, qui était en petit comité et super chaleureuse. Mais j’avais voulu participer quand même à ma manière, et le tout, de façon gourmande et sur-mesure, bien sûr !
La gourmandise, c’est sacré dans la famille et pour vous donner une idée d’à quel point, le cadeau de mariage que mon homme et moi avions choisi, c’était une grosse tomme de Cheddar marbré à la Guinness (oui oui, une entière). Vous comprenez, il n’y en a jamais trop quand on sait qu’il s’agit du fromage préféré des jeunes mariés et leurs loustics… Et j’avais donc complété ça avec des sablés à la noisette. Déjà éprouvés et approuvés par les joueurs de l’équipe donc, il me restait à les personnaliser ! Grâce au kit Hema (plus en vente malheureusement, mais celui-ci sur Amazon me semble équivalent), que j’appelle « Petit Lu Maison », j’ai pu immortaliser le prénom des mariés et la date des épousailles sur chaque biscuit.

Voici la recette que j’ai suivie (arrangée à partir de celle-ci) :

  • 100 g de noisettes en poudre
  • 100 g de farine de sarrasin
  • 100 g de farine de riz et châtaigne
  • 50 g de cassonade
  • 50 g de vergeoise blonde
  • 225g de beurre
  • 1 oeuf
  • 1 pincée de sel

Dans un four normal la recette dit 20 minutes à 170 °C, dans mon four à moi (un combiné micro-ondes), on surveillait à partir de 10-12 minutes.

Ils sont donc sans gluten, se conservent très bien et semblent plaire à tous, puisque tout le monde en redemande ! Et vous, c’est quoi vos biscuits « chouchou » pour les fêtes ?

 

Comment apprivoiser le Zéro Déchet ?

Je vais vous parler aujourd’hui de quelque chose qui prend de plus en plus de place dans ma vie, enfin, plutôt dans ma façon de vivre, depuis à peu près 2 ans. Ça a commencé par des initiatives autour de moi, des rencontres et il faut dire que j’ai la grande chance sur ce point d’avoir un quartier très engagé : je vais vous parler du Zéro Déchet. À moins d’être totalement déconnecté du monde, vous avez forcément entendu parler de cette expression ces derniers mois, entre l’ouverture de boutiques en vrac, même des stands de vrac dans les grandes surfaces, les reportages dans les médias.

Pour ne pas dire de bêtises, je cite Planetoscope :

« Production de déchets ménagers en France : on estime que ces déchets représentent 519 kg par habitant en 2014. »

Une demie tonne par personne… ça fait peur non ? Moi ça m’a fait peur, alors même si je suis loooin d’être parfaite, j’essaie de réduire tout ça. Ça a représenté plusieurs investissements au début, mais que je rentabilise déjà 2 ans plus tard. C’est donc passé par l’achat de mouchoirs lavables (comme mon papa !), cotons lavables (avec un bébé qui mettait encore des couches il y a quelques mois, autant vous dire que c’était pas négligeable), essuie-tout lavable, éponges lavables, bocaux pour le vrac, savon pour remplacer le gel douche, mais aussi par la fabrication de mon déodorant, le passage aux serviettes hygiéniques lavables, l’utilisation de gourde et la mise en place d’un compost au fond du jardin. Je vous parlerai d’ailleurs plus en détails de certains éléments de cette liste dans des articles dédiés 😉

Éponge lavable, mouchoirs, gourde Gaspajoe, achetés à la boutique Ethics
Sop’malin (essuie-tout lavable) et cotons, commandés à Lili M la Fée

Ce n’est pas parfait, il y a encore par exemple de nombreux emballages alimentaires dans mon frigo, notamment pour mes achats de produits bio ou vegan (accro au tofu de toute sorte bonjour, vous me comprendrez je pense !). Mais ça réduit. Là, j’ai fêté mes 30 ans avec des amis, j’ai acheté que des boissons consignées, et le buffet venait d’un traiteur spécialisé dans le sans gluten et sans lactose : les seuls déchets du repas, le carton qui a servi à transporter les tartes et mini-fours ! C’était déjà une victoire pour moi.

Et une des règles essentielles, quand vous êtes une démarche de réduction de vos déchets, c’est justement se dire qu’il n’y a pas de petites victoires.

Au moment où j’ai découvert le « mouvement Zéro déchet », j’ai fait l’erreur du débutant classique : j’ai voulu tout faire en même temps. Le vrac, la cuisine maison, le marché toutes les semaines, les produits de tous les jours en version lavables. Quand je me suis retrouvée débordée, ce qui est arrivé vite, j’ai baissé les bras un moment, en me disant que je ne pouvais pas sur tous les fronts. Je m’en suis voulue, j’ai eu honte, j’ai culpabilisé. Alors qu’au final, c’était vrai : on ne peut pas être sur tous les fronts. Alors on fait ce qu’on peut à notre échelle, et quand certaines bonnes habitudes sont enfin installées, on peut les pousser plus loin, on peut en mettre en place de nouvelles. Mais on ne précipite rien, sinon on risque vite de retomber à zéro progrès plutôt que zéro déchet…

Aujourd’hui, j’avance à mon rythme, en me disant qu’au moins, je ne suis pas inactive face aux enjeux écologiques dont nous prenons de plus en plus conscience. Et plutôt que de déprimer à chaque fois que je vois une news sur le sujet, je me dis que je dois continuer à avancer, que je fais ça pour notre planète, nos enfants, leur futur. Et ça, ça me parle et me motive. Tous ces petits gestes sont importants et en plus, ils m’aident à me sentir mieux, dans ma vie, et avec ma conscience. Comment pourrais-je ne pas partager ça avec vous ? 😃

Et vous alors, connaissez-vous ce mouvement et qu’en pensez-vous ? Avez-vous essayé de changer certaines de vos habitudes pour la santé de notre planète ?

 

La réponse « capillotractée » d’une Balance au Cancer

Mon titre vous laisse perplexe ? Je vous comprends, pourtant je vous assure que tout y est : ça parle de cheveux, d’une fille qui est née en octobre, et d’un vilain crabe à qui elle ne veut pas laisser le dernier mot. Plus simplement, ça parle d’un don de cheveux, que j’ai fait il y a maintenant un an, à l’occasion de mon anniversaire et qui a profité aux personnes atteintes du cancer.

Car si je viens de fêter ma nouvelle dizaine, c’est bien il y a un an que je fêtais l’entrée dans ma 30e année (si si, je vous laisse faire le calcul) et j’avais décidé de faire ça en me coupant 30 cm de cheveux. Pour l’envie de changement, mais pas que : c’était aussi pour une cause chère à mon cœur, celle de la lutte contre un des maux de ce siècle. J’avais donc fait mes recherches et j’ai choisi d’aller chez Fairbell, un salon partenaire d’associations qui viennent en aide aux personnes atteintes du cancer, dont Solid’Hair. Avec votre don de cheveux (longueur minimale de 20 à 30 cm, selon les associations), des perruques seront confectionnées et des fonds seront donnés aux personnes dans le besoin, leur permettant de s’offrir une coiffe de qualité. Votre chevelure aura une seconde vie et cette personne aussi !

Au salon, les coiffeuses ont été aux petits soins et très encourageantes : j’étais sûre de moi, mais pas si facile de se délester 30 cm de cheveux, de passer d’une longueur au bas du dos à une au dessus des épaules !

Aujourd’hui, un an plus, tard, je ne regrette rien ! Mes cheveux (très) longs me manquent parfois, mais finalement, ils sont souvent attachés, et les chignons restent bien fournis, même avec 20 cm en moins par rapport à avant la coupe. Et si c’était à refaire, je le referais… non en fait, pas de conditionnel, c’est déjà décidé, je le referai : je continuerai d’alterner période de pousse, jusqu’à les avoir en bas du dos, puis don de 25 ou 30 cm, puis période de pousse, puis don, etc. Ce n’est peut-être pas grand chose, mais je veux pouvoir faire autant de dons que possible à mon échelle, pour accompagner les dons que je fais directement en « argent comptant », évidemment. En parlant d’argent d’ailleurs : la coupe est offerte quand vous venez vous couper les cheveux pour un don. Alors, convaincu.e ? Avez-vous déjà envisagé ce genre de dons ? Ou l’avez-vous déjà fait ?

Pour la petite histoire, finalement, ce n’est pas Solid’Hair qui a récupéré mes cheveux, à cause de mes mèches blondes… mais la gérante du salon de coiffure m’a tenue informée, et mes cheveux sont partis à une association similaire, en Belgique. J’étais vraiment heureuse d’avoir choisi Fairbell pour cette raison : je savais que les coiffeuses avaient la cause à cœur et feraient tout pour qu’aucun don n’ait été fait en vain, cette démarche me l’a bien prouvé.

Pour les curieux qui ont envie de voir ce que ça donnait le Jour J :

Dessiner, quoiqu’il arrive

Je l’évoquais lors de mon retour cet été, mais il y a donc quelques mois, j’ai fait la rencontre d’une belle personne. Il y a des êtres humains comme ça, qui rayonnent, qui nous brûlent de leur bienveillance. Mais c’est une brûlure que l’on chérit, car elle a réveillé la petite flamme, là, celle qu’on avait oubliée au fur et à mesure des années. Et en ces quelques heures de passage qu’ils font dans notre vie, ils laissent une marque au fer rouge, pour qu’on ne l’oublie plus, cette petite flamme.

Pourquoi cette métaphore du feu ? De vous à moi, je n’en suis pas sûre. Est-ce un restant de fièvre ou simplement ce qui ressort comme sensation à l’évocation du sujet ? Un mix des deux ? Mais peu importe, je m’enflamme et c’est pour la bonne cause. Si si, je vous assure.


Cette belle personne, c’est Ponymasta, aussi prénommé Mickaël. C’est un artiste qui s’est donné pour noble mission de partager son savoir pour que plus personne autour de lui ne se dise « moi, j’aimerais bien savoir dessiner, mais je n’ai pas de talent…« . Alors il nous donne des bases solides, sincèrement, toutes les bases essentielles, mais surtout, il nous donne une grande leçon de vie.

Et pourtant, comme j’en ai mis du temps à écrire cet article ! Ça a été un tourbillon dans ma vie à ce moment-là, tellement d’émotions, tellement de messages, de connaissances, que cet homme nous a transmis cet après-midi-là. Je pense que j’avais besoin de recul, de laisser cogiter jusqu’à ce que ça me semble suffisamment clair pour l’exprimer ici. Mais ce que je savais déjà, c’est que je lui en serai éternellement reconnaissante.

Grâce à lui, je ne dirais plus que « je dessine toujours comme une gosse« , parce que ça ne veut rien dire, et qu’il y a des gosses franchement, je rêverai de dessiner comme eux. Grâce à lui, j’arrête enfin d’abandonner avant même d’avoir commencé, j’arrête de placer des attentes trop hautes, je prends ce que je peux, tout instant passé à gribouiller, je le vivrai comme une victoire ! Car j’ai enfin compris que ce n’est qu’à force de pratique que je le choperai, mon coup de crayon, et qu’aucun dessin n’est vain. Chaque moment où je griffonnerai sur une feuille me fera du bien, me videra la tête et me rapprochera de mon objectif.

Alors aujourd’hui, j’ai pris mes crayons, et j’ai fait en un seul dessin une reprise des 3 premiers jours du challenge « Inktober« , mélangé au challenge « HiWitchtober« , dont j’ai adoré les thèmes. Alors oui, je n’ai pas choisi le plus simple, et je ne suis pas sûre du tout de réussir à m’y tenir. Mais vous savez quoi ? Ce n’est pas grave. Car ce soir, j’ai pris plaisir à dessiner, et c’est tout ce qui compte.

Les mots étaient :
Pour Inktober : #poisonous #tranquil #roasted
Pour HiWitchtober : #bubble #gamer #traveling

J’ai donc fait des bulles empoisonnées, avec un chat posé tranquille en train de jouer, avec une note d’une sorcière partie en voyage qui demande à son chat de surveiller sa marmite pour ne pas finir grillé… C’est pas du grand art, mais j’ai adoré faire ce gribouillis avec toutes ces contraintes thématiques. Et ça me suffit.

Vous aussi, vous vous dites que vous ne savez pas dessiner, que le dessin ce n’est pas fait pour vous, mais malgré tout cela reste au fond de vous, comme un chat qui s’obstine à gratter derrière la porte de votre chambre toute la nuit ? (Rendons à César ce qui est à César : cette dernière comparaison vient de Mickaël). Ouvre-lui la porte, à ce chat, et lançez-vous avec une initiation dessin Ponymasta. En plus, il organise ça au Dernier Bar Avant la Fin du Monde et entre nous, ce genre d’apocalypse, on en a tous besoin.

 

Et si on s’écrivait ?

À une époque où on est hyper connecté, hyper sollicité, qui n’a pas eu envie de se couper de toutes ces notifications ? Pourtant, un message d’un ami devrait toujours être une source de plaisir ! Mais quand on sature, on ne fait plus la part des choses, et le moindre courrier électronique peut vite tomber dans l’oubli. Que celle ou celui qui n’a jamais laissé passer des semaines sans répondre à un MP Facebook ou un e-mail me jette la première pierre (et se manifeste en commentaire car sincèrement, je veux en savoir plus sur toi !).

Moi, dans tout ça, j’ai envie de vous déclamer mon amour pour des bouts de papier, des bouts de carton. Mais pas n’importe lesquels ! Vous aurez sans doute deviné dès le début où je venais en venir : je parle des lettres et cartes postales. OUI, JE VOUS L’AVOUE ! Trouvez-moi old school si vous voulez. Envoyer, recevoir un « courrier papier », c’est pour moi un de mes petits bonheurs ! 💌

Tous les étés, j’envoie ma petite carte, j’ai même des amis qui doivent en recevoir une de moi tous les ans depuis quelques années maintenant (si vous me lisez, coucou, je vous aime ❤️). Et j’en reçois, aussi. D’ailleurs, si tu te reconnais dans le mix de courriers que j’ai mis en illustration de cette article, toi aussi, je t’aime. 💕

Bon cet été, j’ai quand même un mea culpa à faire : après une série d’évènements à base d’urgence hospitalière et valises faites précipitamment, une grande partie de mes cartes postales de mes vacances en Haute-Savoie, ont été égarées, et depuis elles attendent encore d’être écrites et postées. Mais elles partiront vers de nouveaux paysages bientôt, croyez-moi !

Mais je me suis dit aussi que je voulais partager ça avec d’autres, des inconnu(e)s ou presque : j’ai rejoint il y a quelques mois un groupe Facebook, de personnes que l’on pourrait désigner comme fangirls de la série Outlander (Netflix, encore, quand tu nous tiens !). Mais dans ce groupe, on partage bien plus que des news de la série : on a deux super admins qui nous font rêver et voyager avec des anecdotes historiques, des explications sur la mythologie celtique, et des paysages écossais et irlandais à en couper le souffle… et à force de me faire voyager par procuration avec tout ce groupe, j’ai eu envie de plus qu’un like, plus qu’un commentaire. J’ai donc proposé un échange de cartes postales ! Le groupe est francophone, et dans cet échange, nous avons donc décidé de profiter des différentes localisations de chacun et chacune : je me retrouve donc avec un binôme québécois ! 🇨🇦 ⚜️ 🍁 Autant vous dire que je suis déjà impatiente d’écrire et customiser mon envoi. Et alors que je suis malade depuis une semaine, que toute la maisonnée est sous tension entre fatigue, manque de temps, besoin de repos, beaucoup de repos, je dois avouer que la perspective de ces échanges épistolaires est une véritable bulle d’oxygène pour moi.

Je me suis même amusée à faire cette image pour illustrer cet échange pour le groupe !

Mais aujourd’hui, c’est à vous que je le propose : qui a envie d’une petite carte ? Si l’envie vous en dit, laissez-moi un petit commentaire ici, ou sur le post Facebook. Je reviendrai vers vous en message privé, si je ne l’ai pas déjà, je vous demanderai votre adresse et je vous enverrai une petite carte dans les semaines à venir (non, je ne vous dirais pas quand, pour vous laisser la surprise !).

Alors, on s’écrit ? 

Cidre, dragon et compagnie haute en couleur

Le weekend dernier, deux semaines après la première rentrée scolaire de ma princesse-viking-corsaire, avait un goût d’été. Soleil (et coups de soleil), plage (et sable dans les chaussures) et cidre (croquant aux grains de sable) étaient au rendez-vous. Alors je présente ça comme ça, mais en vrai, du sable dans mes chaussures et dans mes verres de cidre, j’en veux bien tous les weekends si tout le reste suit !

Après un périple en voiture (Lille – Caen par les petites routes), on est arrivé frais et avec sourire jusqu’aux oreilles dans le magnifique appart d’un de mes meilleurs amis de fac. Leur nid douillet était aménagé dans un ancien couvent, autant vous dire que ça en jète et que ça annonçait super bien la suite haute en couleur.

Réveillés de bon matin, on papote, on se retrouve, on s’affuble de nos costumes de pirates, vikings, costume et robe d’autres époques. En route pour Merville, ou plutôt, Merravilla. Les voitures garées de partout contrastent avec la population, costumée pour la majorité, de la famille d’elfes aux guerriers vikings, en passant par chevaliers, faunes ou encore steampunks. Le marché médiéval s’annonce immense et commence bien avec les retrouvailles parmi les premiers stands avec notre compère du Soleil de Brocéliande. On prend des forces avec un lambas, gastelets aux amandes, pastelet aux poires et j’en passe, et nous voilà en route, tout en se notant de ne pas oublier de prendre nos traditionnelles fouace et brioche avant de repartir le soir.

Et là, on s’en met plein les yeux, et plein les pattes. Alors qu’on parcourt la rue principale bondée de manants ou êtres fantastiques, on s’émerveille des artisans du cuir, du bois, du verre, du métal et de leur créativité. J’ai tout particulièrement apprécié y croiser des stands plus inhabituels, comme des produits de beauté faits-maison à base de plante, des sirops et pâtes à tartiner issues de la permaculture, des plantes à suspendre ou un immense choix en gourmandises diverses à boire ou à manger (du chèvre aux orties ! de la tomme à l’hypocras ! du vin romain aux fleurs ou amandes !), autant de stands que je n’avais jamais vus lors de nos précédents marchés médiévaux fantastiques.

Et au bout de cet immense marché, la plage. Là-bas, on découvre un mini camp viking, une « arène » pour du combat médiéval (le Béhourd, illustré plus bas par une photo de Thom), un chapiteau apparemment sur le thème d’Harry Potter (malheureusement, pas eu le temps de la faire), des initiations au Muggle Quidditch, et un peu avant la plage, la buvette (avec un stand végétarien s’il vous plaît ! Testé et approuvé) et un autre chapiteau avec auteurs et illustrateurs.

Alors pour le camp Viking, sa taille ne valait évidemment pas celui fait l’été dernier à Jumièges, dont le camp était immense et de la reconstitution pure, mais avait le mérite d’être là, avec de vraies démonstrations sur place. Pour l’espace auteurs et illustrateurs, c’était impossible de rivaliser avec notre bien-aimé Troll & Légendes, mais j’y ai fait de très belles rencontres, notamment avec une jeune historienne, Caroline Duban, qui a mis ses compétences universitaire au service de l’ésotérisme et croyance populaire : passionnant ! J’ai d’ailleurs hâte de lire et vous faire découvrir sa BD/encyclopédie illustrée sur les sorcières.

La plage en elle-même avait une ambiance particulière et magique : des corsaires trinquaient avec des fées, des vikings lançaient des hâches à côté de chevaliers qui croisaient le fer, le tout sous les yeux ébahis de princes et princesses, sorcières et sorciers.

Le dimanche, on s’aventure hors de l’allée principale, on découvre un « monde parallèle », qui nous mène vers le campement Médiéval-Fantasy, au milieu duquel se trouve notamment une petite ferme, qui n’est pas sans déplaire à nos petits trolls et lutins. Le campement offre un espace plus ouvert, plus aéré, et fait un bien fou après un bain de foule.

Sincèrement, à Cidre & Dragon, je pense que tout le monde peut y trouver son bonheur, si tant est qu’il est armé de quelques écus et d’un brin de patience pour braver tantôt les tentations diverses et variées, tantôt la foule enthousiaste.

Alors oui, malgré les animations géniales, les divers espaces thématiques (je n’ai notamment pas parlé de la rue des jeux car je n’ai fait que la traverser), le marché médiéval reste de loin dominant, et c’est apparemment ce que l’on reproche le plus à l’évènement. Mais pour ma part, ma plus seule déception, c’est de ne pas avoir eu une journée de plus pour profiter des animations et spectacles ! (Et je n’évoque même pas les concerts du samedi soir, qui devaient être très bien mais auxquels je n’ai pas assisté).

En conclusion : un évènement qui regroupe tout ça à la fois, au bord de la mer ? Je dis oui, mille fois oui ! Et surtout, vivement l’année prochaine !

Review #01 : Deux comédies romantiques (satiriques) françaises

Alors avant tout, il faut savoir que je suis bon public. Mais genre, vraiment bon public. Mais même moi j’ai beaucoup de mal avec les films français qui sortent ces dernières années (à part quelques rares exceptions, mais ça implique souvent Dupontel). Malgré tout, je leur ai redonné une chance avec Netflix, en me disant qu’ils feraient des choses innovantes. Et sur le papier, c’était bien parti…

Je ne suis pas un homme facile

C’est un film qui se veut dénonciateur de l’inégalité homme – femme. Un homme, à qui tout « réussit » ( = tout se passe très bien pour lui sur le plan professionnel et il a du succès auprès des femmes, j’ai mis des guillemets car pour moi ce n’est pas un synonyme de réussite), se retrouve dans un monde où les femmes dominent. Alors on inverse, aux extrêmes, les clichés, et c’est là que ça me dérange. Le film se contente de calquer le comportement machiste de certains hommes à l’égard des femmes. Mais aucune demie mesure : les femmes sont odieuses, carriéristes, infidèles, dénigrent les hommes, les harcèlent dans la rue… Alors oui, dans certaines situations, on se dit que c’est vrai, des hommes se comportent comme ça et que si l’action était inversée, c’est triste mais elle surprendrait moins. Mais le fait que ça aille totalement dans l’extrême, c’est globalement ridicule. Et tout le long du film, le protagoniste, certes, se plie un peu au jeu mais pourquoi ? Parce qu’il veut une femme à tout prix. Et surtout, il continue d’idolâtrer SON monde. Elle est où la dénonciation du coup ? Finalement, chacun veut ce qui est à son avantage, et c’est tout ? Et j’ai vraiment l’impression que c’est la femme qu’il cherche à « obtenir » qui change pour lui, se remet en question et lui au final, très peu. En tout cas ça m’a laissé ce ressenti. Alors oui, certaines scènes sont tellement absurdes que j’ai ri. Mais j’avais prévenu : je suis bon public.

La fin… c’est une fin ouverte, que je trouve trop facile. Cela semble un retour à « la normale », et on retrouve nos deux amoureux dans une manifestation féministe. Non je vous assure, ça ne spoile rien du tout : on se doute qu’ils vont finir ensemble (ça reste une « comédie romantique ») et dans cette scène, il ne se passe rien. Et voilà, hop, fin, tu tires tes conclusions tout seul. Et mes conclusions à moi c’est qu’il ne suffit pas de pousser à l’extrême des clichés et de les rendre ridicules pour les dénoncer.

Les goûts et les couleurs

Encore une fois : c’est un film qui se veut dénonciateur. Cette fois, dénonciateur de l’homophobie, du racisme, de l’antisémitisme. La protagoniste est une femme engagée à une femme, mais qui n’arrive pas à faire son coming out. Sa famille est juive, elle ne pratique pas. Jusque là soit, OK. Rapidement, on se rend compte qu’elle n’assume pas grand chose : ni son couple, ni sa religion, ni son absence de pratique de ladite religion. OK, ça sera donc une comédie romantique « initiatique » vers l’acceptation et l’affirmation de soi ? EH NON ! Non, elle va avoir un crush pour un homme, Sénégalais. Soit, pourquoi pas. Elle ne communique pas dans son couple parce que sinon, on ne pourrait pas en faire un film, évidemment (disclaimer : si, le film aurait pu être bien quand même selon moi avec + de communication et – de grotesque). On la suit, entre ses mensonges par omission à sa femme, son flirt, sa famille. Je n’ai pas du tout réussi à m’attacher aux personnages. Elle agace son entourage et entre nous, on les comprend. En revanche, ils l’aiment tous quoiqu’elle fasse mais nous, spectateurs, on n’a pas de background qui nous ferait l’apprécier. Donc ça prend moins. Tout au long du film, on croise d’autres personnages, qui pourraient être attachants mais non, on enchaîne les clichés : les clichés sur la lesbienne aigrie, les clichés sur les Parisiens VS les banlieusards, les clichés sur la communauté africaine, les clichés sur les Juifs. Et sincèrement, à aucun moment j’ai trouvé que c’était dénoncé : au contraire, ça va dans le sens de ces clichés ! Ça a vraiment été très, très difficile à regarder.

La fin… une fin ouverte, quelle surprise ! J’ai eu l’impression que les scénaristes en avaient eu marre et étaient partis avant d’écrire et tourner la fin. On nous laisse avec le happy ending le plus tiré par les cheveux que j’avais pu voir depuis longtemps, sans réelle prise de position de l’ « héroïne ». Alors pour la quête initiatique, la comédie et le romantique, on repassera…

Ma conclusion

Il faut arrêter de vouloir tout faire en même temps : faire rire, montrer une belle histoire d’amour, dénoncer les clichés. Car au final, ces deux films ont visé complètement à côté sur les 3 tableaux.

Netflix, ou la renaissance des romcoms

Quand on entend Netflix, on pense séries, bien évidemment. Mais ces derniers temps, j’ai du mal à suivre/reprendre mes séries, et j’arrive (étrangement) plus facilement à caser le visionnage d’un film. Bon à vrai dire il n’y a rien d’étrange, je regarde juste le film en 3 fois sur 2 jours, et hop, je peux passer à autre chose. Avec une série, j’vais avoir envie d’enchaîner les épisodes, le fameux binge-watching dont on parle tant ces dernières années, mais que je ne peux plus du tout me permettre avec mon emploi du temps. Donc les séries, globalement, c’est trop de frustration pour moi.

Mais je flâne quand même sur Netflix, comme je zappais plus jeune entre les chaînes du câble. Et sans le réaliser tout de suite, je suis retombée dans les romcoms. J’ai toujours adoré les comédies romantiques, je m’en suis jamais caché. Love Actually est un de mes films préférés, dont je ne me lasse toujours pas. Mais ces dernières années, à part quelques rares exceptions et qui encore, ne rentraient pas vraiment dans le genre « romcom », si ce n’est que ça parlait d’amour et que le film était léger malgré les choses profondes abordées (je pense notamment à Her, ou à Une merveilleuse histoire du temps), je ne trouvais plus de nouvelles romcoms comme celles que j’aimais. Celles qui se regardent sans réfléchir, où on se laisse porter par les codes bien convenus, la dose d’humour et de niaiserie (on sait par exemple que ça finira bien pour le ou la protagoniste).

Tout a commencé quand je suis d’abord tombée sur The Kissing Booth, au début de l’été. Un casting inconnu mais attachant, une histoire prévisible mais bien équilibrée. La formule romcom bien dosée quoi ! Je n’ai pas vu le temps passer, j’ai pu revoir avec gourmandise mes passages « déjà » préférés, etc. Mais alors, qu’est-ce qui a changé ? J’ai toujours un abonnement illimité UGC, mais je n’avais pas retrouvé ce plaisir coupable depuis longtemps. Eh bien la réponse est : Netflix ! Ce film est une production Netflix, tout simplement. Et c’était rafraichissant, avec des acteurs bien choisis, un scénario efficace et un respect total des codes du genre.

Et ça ne s’est pas arrêté depuis. Récemment, j’ai vu To all the boys I’ve loved et pareil, quel plaisir ! Ça fonctionne, et pas que sur moi. Il suffit de voir les succès de ces 2 films et l’engouement sur les réseaux sociaux… Alors ça ne sort pas au cinéma, je ne l’ai pas en DVD, mais grâce à Netflix, je retombe dans les comédies romantiques et entre nous, je vous l’avoue, ça me fait un bien fou.

J’ai donc décidé de reprendre les deux listes publiées par le site « Filmdelovers » (un nom de site qui vend du rêve, mais au moins c’est honnête), et de découvrir les sorties Netflix dans ce genre de ces deux dernières années. Je ferai sûrement une revue tous les deux ou trois films, peut-être même avec la collaboration d’une autre Marie. Comme j’en ai déjà vu certains, je commencerai mes revues ces prochaines semaines. Je dois admettre que j’ai déjà hâte de partager mes petits plaisirs coupables avec vous…

Vous allez voir qu’avec ces 30 films, il y a déjà de quoi faire ! En avez-vous vu certains ? Si vous avez des recommandations (dans la liste ou non), je suis plus que preneuse 🙂

Romcoms Netflix sorties en 2017 :

  1. « Noël à Snow Falls« , Afin d’hériter de son entreprise, une citadine frivole doit se rendre dans la petite ville natale de son père où elle découvre la valeur du travail et le sens des autres.
  2. « A Christmas Prince« , Pour cette jeune femme qui rêve de devenir journaliste, c’est Noël avant l’heure quand on l’envoie à l’étranger décrocher un scoop sur un futur roi bien charmant.
  3. « Nos âmes la nuit« , Après qu’Addie et Louis, deux voisins veufs, commencent à dormir ensemble afin d’oublier un peu leur solitude, ils se font surprendre par une véritable histoire d’amour.
  4. « Naked« , Rob est fou amoureux et sur le point de se marier. Malheureusement, il est aussi tout nu, coincé dans un ascenseur et pris dans une boucle temporelle.
  5. « The incredible Jessica James« , Minée par une rupture, une dramaturge new-yorkaise sans succès jette son dévolu sur un concepteur d’applications divorcé après un premier rendez-vous pourtant improbable.
  6. « Le dernier jour de ma vie« , Revivant sans cesse le jour où elle est morte dans un accident de voiture, une adolescente privilégiée doit découvrir le mystère cosmique qui a conduit à cette situation.
  7. « Tramps« , Deux étrangers se retrouvent embarqués dans une folle nuit à travers New York à la poursuite d’une mallette perdue suite à un échange malencontreux.
  8. « Slam« , Lorsque Sam tente de s’imaginer un avenir entre adolescence et paternité, il trouve un mentor étonnant en lisant la vie et les exploits du skateur Tony Hawk, son idole.
  9. « Le phare aux orques », Une mère emmène son fils autiste jusqu’en Patagonie dans l’espoir qu’un ranger et un groupe d’orques sauvages pourront l’aider à établir une connexion émotionnelle.

Romcoms Netflix sorties en 2018 :

  1. « Une femme de tête« , (sortie le 21 septembre 2018) Après un accident au salon de coiffure, Violet se rend compte qu’elle ne vit pas sa vie pleinement. Heureusement, un barbier sensible va l’aider à réparer les dégâts.
  2. « Sierra Burgess is a loser« , (qui sort demain !). Une lycéenne brillante s’allie avec une fille plus populaire pour attirer l’attention de celui qu’elle aime.
  3. « Les lois de la thermodynamique », Un physicien s’appuie sur les lois de la thermodynamique pour décrire les relations amoureuses, mais ses théories s’avèrent fausses concernant sa propre vie sentimentale.
  4. « À tous les garçons que j’ai aimés« , Lara Jean écrit des lettres secrètes aux garçons qui la font craquer. Mais, un jour, la boîte où elle les garde disparaît, et sa vie amoureuse passe du fantasme au chaos.
  5. « Zoe« , Une femme travaillant dans un laboratoire voit sa vie bouleversée lorsqu’elle tombe amoureuse d’un collègue qui met au point des compagnons synthétiques.
  6. « Les goûts et les couleurs« , Lorsque Simone trouve enfin le courage d’annoncer à sa famille juive conservatrice qu’elle est lesbienne, elle se trouve attirée par un chef sénégalais…
  7. « Us & Them« , Deux inconnus se rencontrent dans un train. Entre eux se noue un lien amoureux qui évolue au fil des années, au gré des séparations et des retrouvailles.
  8. « Histoires sensuelles« , Dans cette suite du film « Bombay Talkies », quatre courts métrages réalisés par de grands cinéastes indiens explorent l’amour, le sexe et les relations dans l’Inde moderne.
  9. « Petits coups montés« , Deux assistants surmenés et sous-payés élaborent un plan pour se débarrasser de leurs effroyables chefs en les faisant craquer l’un pour l’autre.
  10. « Alex Strangelove« , Élève en terminale, Alex Truelove a tout pour lui : de bonnes notes, une petite amie et une bande éclectique de copains hilarants. Tout va bien jusqu’à ce qu’il décide de perdre sa virginité et rencontre Elliott, un garçon adorable et pétillant qui ne cache pas son attraction pour Alex…
  11. « Le mariage d’Ali« , Quand un mensonge inoffensif déclenche une catastrophe, le fils d’un ecclésiastique irakien vivant à Melbourne se retrouve déchiré entre devoir familial et sentiments.
  12. « Ibiza« , En voyage d’affaires à Barcelone, Harper a emmené ses 2 meilleures amies. Mais son coup de foudre pour un DJ craquant les propulse dans une folle aventure à Ibiza.
  13. « Catching feelings« , La vie d’un universitaire et de sa femme est bouleversée par l’arrivée d’un ancien écrivain célèbre dans leur quartier, à Johannesbourg.
  14. « The kissing booth« , Quand le premier baiser de la jeune Elle la mène à un amour interdit avec le garçon le plus couru du lycée, sa relation avec son meilleur ami est menacée.
  15. « Candy Jar« , Deux virtuoses des débats qui ne s’entendent sur à peu près rien jouent le tout pour le tout afin d’être acceptés dans l’université de leurs rêves.
  16. « Je ne suis pas un homme facile« , Après une vie passée à lorgner les femmes, il est à leur merci. Dans cet étrange monde où les rôles sont inversés, la maturité pourrait le sauver.
  17. « Orbita 9« , Alors qu’elle a passé toute sa vie seule dans un vaisseau spatial, une femme tombe amoureuse d’un ingénieur dont les révélations inattendues changent son univers.
  18. « Happy anniversary« , Lors de leur troisième anniversaire, un couple s’interroge sur le fait de rester ensemble ou de se séparer.
  19. « Mon âme soeur », Abbie et Sam sont des âmes sœurs depuis l’âge de 8 ans et sont destinés à vivre ensemble pour toujours jusqu’à ce que la mort s’en mêle.
  20. « L’amour au mètre carré« , Comme leurs revenus personnels ne leur permettent pas d’acheter une maison, Sanjay et Karina, deux employés de banque, décident de conclure un mariage de convenance.
  21. « When we first met« , Grâce à un photomaton magique qui lui permet de remonter dans le temps, Noah revit la soirée où il a rencontré Avery pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné entre eux.
  22. « Blockbuster« , Largué à cause d’une vidéo conçue pour distraire son père malade, Jérémy, désespéré, mûrit un plan minutieux pour reconquérir Lola, sa petite amie, fan de super-héros.

Cake sans gluten, chèvre, noix et cranberry

Si comme moi, vous avez quelques exclusions dans votre alimentation (sans gluten pour raison de santé, sans viande par choix), les buffets froids peuvent vous sembler un peu moins festifs…

Même si les crudités s’invitent de plus en plus sur les tablées (#TeamChouxFleurCru), et si je suis chanceuse d’avoir une famille qui y fait attention, pour l’anniversaire de ma petite maman, j’ai décidé de donner un coup de main et de prendre les devants. Je ne voulais imposer à personne de cuisiner avec mes contraintes culinaires (tout le monde n’a pas 9 farines différentes dans ses placards) et par la même occasion, faire découvrir que la cuisine sans gluten et végétarienne peut être très bonne !

Alors pour les amateurs du sucré salé et de l’association chèvre noix, voici un cake que j’ai inventé (peut-être existait-il, mais je n’ai suivi aucune recette si ce n’est une indication pour les proportions) :

  • 60 g de Maïzena
  • 40 g de farine de maïs
  • 50 g de farine de sarrasin
  • 2 œufs
  • 2 bonnes poignées de cranberry
  • 2 bonnes poignées de noix
  • La moitié d’une bûche de chèvre bio* coupée en dés

J’ai fait cuire 20 minutes, avec mon four à 200 °C. Je vous recommande de surveiller, j’ai un petit four électrique et je le connais, donc sur un four traditionnel, ça peut varier. Mais globalement, il suffit d’appliquer le temps de cuisson et la température pour une cake classique au fromage !

Je n’avais qu’un petit moule format cake, donc j’ai fini ma pâte dans un moule à cannelés… et je crois que j’ai finalement préféré le format « petites bouchées ».

En tout cas les gens ont goûté et ont aimé, et moi, j’ai pu manger sans me poser de question. Je pense que je renouvellerai l’expérience en changeant les associations de fromages et noix.

Bon ap’ !

*depuis que je sais grâce à une vidéo publiée cet été que le chèvre « classique » est souvent blindé d’hormones (car les chèvres n’ont pas du lait toute l’année, contrairement aux vaches), je fais attention à ce que j’achète et donc le plus souvent, je pars sur du bio. Après, chacun ses convictions évidemment ! Pour les intéressés, voici des sources variées sur le sujet que j’ai trouvées intéressantes :

http://lereveillozere.reussir.fr/actualites/le-desaisonnement-en-chevre-bio:VO7Q6V9B.html
http://lalaiteriedeparis.blogspot.com/2015/09/quand-les-aop-permettent-lutilisation.html

Le dilemme des éleveurs de chèvres


http://www.lafranceagricole.fr/article/synchroniser-les-chaleurs-des-brebis-et-des-chevres-sans-hormone-1,0,72837593.html