Rochers coco vegan

Mettons sur les drôles envies de femme enceinte, mais ça fait des mois que ça me travaille : j’ai envie de rochers coco. J’avais l’habitude d’appeler ça congolais d’ailleurs, peut-être le nom a perdu de popularité et qu’on lui préfère son appellation plus neutre (et qui a le mérite de parfaitement décrire ce que c’est).

Toujours dans mon souci de satisfaire les personnes à qui je les destinais, il me fallait donc impérativement que ça soit à la fois (évidemment) bons, que ça rappelle le goût de notre enfance, mais sans aucun produit d’origine animale. En cherchant, j’ai remarqué qu’une version vegan allait impliquer une version sans gluten : en effet, dans toutes les recettes que j’ai trouvées, les œufs de la recette originale étaient remplacés par de la farine !

Mais une fois les recherches et conversions effectuées (je me suis notamment beaucoup aidée de cette recette sur le blog Vegebon), je me suis retrouvée avec une recette simplissime, très rapide à réaliser et un résultat au rendez-vous.

Voici donc les ingrédients que j’ai utilisés :

  • 125 g de noix de coco râpée
  • 75 g de cassonade
  • 15 g de farine de riz
  • un yaourt soja vanille
  • une cuillère à soupe d’eau (si on a du mal à avoir une pâte facile à manipuler)

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On mélange tout ça, forme des petits paquets qu’on dispose sur du papier cuisson, puis on fait cuire environ 10 minutes (mais il suffit de surveiller que les rochers dorent), à 200 °C.

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Aussi bon chauds que froids (s’il en reste le lendemain !), ils ont convaincu et régalé toutes les papilles. Pari réussi !

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Les Schokobons de la tentation

On me l’a réclamée, la voici enfin : la recette des Schokobons. Vous risquez d’être déçus (ou pas), mais elle est d’une simplicité enfantine ! Son seul secret : la patience. Mais le résultat le vaut largement, évidemment. Après plusieurs essais, je peux quand même apporter quelques précisions sur la meilleure façon de s’y prendre.

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Niveau ingrédients, je dose au feeling, mais grosso merdo :

  • 1 tablette de chocolat au lait pâtissier
  • 1 tablette de chocolat blanc pâtissier
  • du pralin

Et c’est tout ! Vous utiliserez environ un tiers de votre sachet de pralin, et il vous reste du chocolat au lait. Avec ce dosage, je fais 12 gros schokobons (je remplis mes 2 moules StarWars, soit 6 têtes de clones et 6 casques de Vador).

On commence par faire fondre au bain marie le chocolat au lait (la moitié de la tablette max) et on badigeonne les moules avec un pinceau de cuisine. J’ai essayé sans, mais c’est vraiment trop galère, la coque est trop épaisse par endroit et les recoins des moules sont difficilement accessibles autrement. Mais ça vaut complètement le coup d’investir, un pinceau de cuisine en silicone ça peut coûter dans les 5 € maintenant.

Pour faire fondre le chocolat, j’ai essayé au micro-ondes plusieurs fois, mais il y a le risque que le chocolat ne soit pas lisse (ça me le fait 4 fois sur 5, sans compter le fond qui parfois crâme/caramélise, surtout pour le chocolat blanc) et c’est vraiment essentiel que le chocolat s’étale bien, notamment pour la coque. Donc c’est plus long, mais j’insiste sur le fait que c’est mieux au bain-marie, avec la seule précaution qu’il faut surveiller que l’eau ne déborde pas dans le bol, car si de l’eau se mélange à votre chocolat, c’est la cata, même résultat qu’au micro-ondes : ça granule !

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On laisse refroidir, perso 20 minutes ça a toujours suffi. On fait fondre le chocolat blanc au bain marie et on y ajoute le pralin, donc en gros 1/3 du paquet, après vous doserez selon vos goûts, mais il vaut mieux ne pas en mettre assez et en rajouter, évidemment. Le bon repère, c’est qu’il faut que ça reste pâteux, si c’est trop « granuleux » à cause du pralin, ça n’ira pas bien pour faire le fourrage.

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On attend encore une vingtaine de minutes que ça durcisse, pendant ce temps-là on a fait fondre environ 1/3 de la tablette de chocolat au lait qui reste, puis on recouvre pour finir la coque et fermer les chocolats. Avant de démouler, j’ai attendu une bonne heure parce que j’étais impatiente, tout c’est bien passé, mais disons que 2 heures me semble plus sage.

Il ne vous reste plus qu’à crâner sur Instagram et vous régaler !

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Hunter x Hunter, coup de cœur Anime

Après le grand rattrapage des Naruto et Naruto Shippuden, un vide est laissé qu’il faut sans plus attendre combler par une autre série animée japonaise. Débuté puis arrêté en court de route par l’amoureux, on apprend qu’a commencé en 2011 un remake du shōnen Hunter x Hunter, (ハンターハンター, Hantā Hantā). Le synopsis est simple : Gon Freecss a une dizaine d’années et il caresse le rêve de devenir hunter. Les hunters forment l’élite de ce monde, ils ne manquent de rien et vivent d’aventures en se spécialisant dans des domaines divers : justice, archéologie, protection animale ou même cuisine. Élevé par sa tante, Gon aimerait suivre cette voie pour rencontrer son père, Ging Freecss, hunter de haute renommée, et comprendre pourquoi ce dernier a choisi d’embrasser carrière et solitude plutôt que la vie de famille.

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Son périple commencera avec l’examen pour devenir, dont une session a lieu chaque année et où les sélections et épreuves mortelles débutent avant même d’avoir rejoint le lieu de l’examen. Sur sa route, notre héro rencontrera Kurapika et Leorio, qui partagent également le rêve de devenir hunter, mais le premier pour venger son clan et le second pour devenir riche et médecin. Très rapidement dans l’histoire, le jeune Kirua se placera sur leur chemin. Et alors que tous craignent cet enfant prodigue issu de la famille Zoldik (assassins célèbres mais pas vraiment populaires), Gon va tout simplement passer outre tous les a priori (et peurs légitimes – attention le lien contient un petit spoiler -) et s’en faire un meilleur ami.

Pour moi, cet anime, c’est avant tout leur histoire. Tout de façon, à chaque nouvel arc, où défilent des hunters-gamers-cupides, les grands noms de la Mafia ou encore une race hybride redoutable, certaines figures reviennent sans cesse mais on ne peut que remarquer que le cœur de l’histoire reste centrée sur ces deux-là. Là où Gon est chaleureux et spontané, Kirua est distant et calculateur. Sauf qu’il n’y a rien que ces deux amis ne feraient pas l’un pour l’autre. On retrouve un lien aussi fort que celui entre Naruto et Sasuke, sans la frustration de voir l’un courir mais après l’autre, mais juste l’émotion de voir tour à tour l’un tomber et l’autre le relever.

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Dans cette histoire, on retrouve une critique acerbe de notre société et de notre histoire, à travers le regard traumatisé des Japonais face aux utilisations des armes à destruction massive. On y critique dictatures, propagandes, la convoitise malsaine du pouvoir par les adultes et leur égoïsme. Mais on y montre également de belles qualités humaines : l’amitié, le pardon, la soif désintéressée et altruiste de la découverte de notre monde et plus que jamais l’idée que la beauté est avant tout intérieure (ce qui est parfaitement illustré par Melody, jeune femme à l’aspect des plus ingrats mais certainement un des personnages les plus doux et gentils que vous aurez l’occasion de croiser dans un anime, et c’est très bien expliqué dans cet article en anglais de The Mary Sue).

Je me suis attachée à ces deux gamins dont le parcours initiatique regorge d’agréables surprises et terribles vérités, de méchants pas-si-méchants et tout aussi touchants, de gentils pas-si-gentils, dans un univers vivement critiqué mais foncièrement beau.

Pour conclure, j’aimerais finir sur une déclaration que fait Kirua à Gon, tout en y ajoutant une précision : regardez cet anime, et laissez-vous surprendre. Car les parts d’ombre et lumière de ces personnages sont loin d’être là où vous les attendez.

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« Gon, tu es la lumière… Parfois, tu brilles si fort que je dois regarder très loin… Mais même ainsi, est-ce que je peux toujours rester à tes côtés ? »

 

« Univers mixés », 2e concours by AD_e

Après ma première participation, je me suis dit que je devais continuer sur ma lancée, et comme j’avais beaucoup hésité entre les deux thèmes proposés, il ne me restait plus qu’à me mettre au boulot !

Cette fois, il fallait mixer deux univers parmi nos préférés. Ayant déjà tiré mon inspiration dans Star Wars pour le premier concours, je me suis donc creusé les méninges pour trouver avec quoi mixer un autre univers cher à mon cœur : celui du Petit Prince. Et puis ça m’a frappé comme une évidence : une autre histoire avec un gamin aux cheveux couleurs du blé, qui dompte un renard… moi ça me rappelle Naruto et Kurama ! C’est un anime que je viens de découvrir (oui, c’est pourtant vieux), je viens de le binge-watcher (ouais ça se dit, c’est même dans le Wikipedia français, regarde !) et j’ai vraiment bien accroché. Voilà, j’avais trouvé, plus qu’à m’y mettre ! J’ai donc sorti feuille et crayons de papier (oui, au pluriel, car j’en ai 3, aux mines plus ou moins grasses) et comme pour mon premier dessin, j’ai ensuite scanné le tout pour le coloriser comme je pouvais sur Photoshop.

Ça a donné en version finale ce truc-là, qui semble toujours tout droit sorti d’un cahier de dessins d’une mioche de primaire, mais ma foi, on y reconnait les deux références et c’est déjà pas si mal !

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Pour clore cet aparté crayonnage, voici l’article d’AD_e sur son blog qui regroupe toutes les participations et les résultats : annonce des gagnants aux concours (avec l’ensemble des participations).

Ce sont mes participations préférées qui ont gagné et non, je n’ai rien gagné. Si ce n’est la satisfaction d’avoir participé et l’occasion d’avoir un échange super constructif (et qui m’a fait du bien) avec AD_e. Donc finalement, avec le recul j’ai beaucoup gagné !

« Que feriez-vous si vous rencontriez votre personnage fictif favori ? »

J’ai toujours été curieuse de nature et avec l’arrivée d’Internet, autant vous dire que ça ne s’est pas arrangé. Cette curiosité m’amène à découvrir pas mal de choses plutôt cool, et voilà comment en flânant je suis tombée sur une dessinatrice belge AD_e, que je suis depuis assidûment sur Facebook et DeviantArt.

En plus d’être super drôle et d’avoir un style bien sympa, elle organise souvent des concours de dessins ! Et elle nous met tellement à l’aise que même les éternels aspirants-à-bien-dessiner-mais-présentement-pas-très-doués comme moi se laissent tenter à participer. Qui plus est, l’envie de dessiner me vient d’une personne chère à mon cœur qui vient de nous quitter… alors je crois que j’ai d’autant plus besoin d’extérioriser tout ça en me sortant les mains crayons des poches.

Voici donc ma modeste présentation pour son premier concours :
« Que feriez-vous si vous rencontriez votre personnage fictif favori ? »

J’en ai plusieurs, mais j’ai choisi mon cher Artoo, le plus fidèle droïde de la galaxie, et que j’aimerais tenter avec mes fameux cookies
Je ne suis pas mécontente de la façon dont je l’ai dessiné, quant à la représentation de moi-même, on repassera, à mes 6 ans je devais déjà me dessiner comme ça. Bref.

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C’est pas fameux,
mais je sais que tu aurais été le premier à me dire :
« L’essentiel, c’est de participer (et persévérer). »
<3

Préparation du roadtrip – Pèlerinage pour King’s Landing

Vacances. Après quasi un an et demi à avoir quitté l’errance de la quête du Graal d’emploi et rejoint la cour des salariés, me voilà qu’enfin, je prononçais ce mot béni. Vacances. MES vacances. Prévues en septembre, pour éviter les fortes chaleurs et le « chassé-croisé des juilletistes et aoûtiens » (formule chérie des journalistes en période estivale), je m’en allais prendre la route et traverser un bout de l’Europe.

D’une discussion qui ressemblait à mille autres, on a décidé avec une amie d’arrêter de reporter à plus tard nos ambitions de baroudeuses et de traîner sa bonne vieille Clio sur les pavés européens. Alors qu’une nouvelle saison de notre série adorée Game of Thrones s’achevait, nous laissant en proie entre frustration et spoilers, on a décidé d’épancher notre curiosité en nous rendant directement sur les terres sacrées, celles de King’s Landing. J’avais appris que la belle cité de Dubrovnik avait eu la chance d’y accueillir le tournage.

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Parce que Google est mon ami, j’ai minutieusement déterminé notre plan de route d’après un savant calcul mêlant temps de route, frais divers de douane ou péage et, évidemment, kilométrage. 
C’était donc décidé. Nous serons dotés d’un kit de survie :

  • une bouilloire avec prise allume-cigare, pour assurer un service 4 étoiles ;
  • un double embout allume-cigare/USB pour garder nos batteries pleines ;
  • des mets fins, cappuccino en poudre et nouilles chinoises (avec même une version nouilles de riz pour l’intolérante au gluten que je suis), et autres douceurs ;
  • la literie du parfait scout : oreillers, sacs de couchage et tentes « 2 secondes », juste au cas où (le camping sauvage étant formellement interdit en Croatie sous peine de… on n’en sait rien, mais le simple fait de savoir qu’il y avait des champs de mines nous a dissuadé à vrai dire)
  • un GPS de bonnes vieilles cartes d’Europe, Croatie et Italie, avec en option des trajets pré-enregistrés sur nos téléphones intelligents ;
  • de la musique (enfin, 2-3 CD de compilations éclectiques et aux musiques entêtantes en boucle embarqués à l’arrach) ;
  • de la bonne humeur ;
  • accessoirement des CB prêtes à découvrir les stations essence du monde ;
  • encore de la bonne humeur.

GoogleMaps-Étapes

Nous partirons à l’aube du dimanche 07 septembre 2014, alors que la belle cité des Flandres dormira encore, saoulée de moules, bières et autre tradition de bradeux. Nous irons jusqu’en Belgique, passant par le Luxembourg pour rejoindre l’Allemagne, avec une pause à Karlsruhe puis Stuttgart, où un covoitureur et un compagnon de route nous rejoindrons, pour finir notre première journée à Munich. Nous repartirons vaillamment le lendemain matin, traversant l’Autriche, la Slovénie, jusqu’à fouler de nos pneus les terres croates, avec une nuit dans la capitale, Zagreb. Du mardi 09 septembre au lundi 15, après s’être défoulé les jambes au Lac de Plitivic, nous rejoindrons les côtes à Zadar où nous dormirons, puis longerons la mer Adriatique en suivant Split, où nous resterons 3 nuits, pour finir enfin par Dubrovnik pour 3 derniers jours et 2 nuits.

La nuit suivante se fera en mer, affrontant vents et marées pour rejoindre les Pouilles italiennes. Mais ça, c’est déjà une autre histoire…

Le mugcake : le compromis entre flemme et gourmandise

Les mugs-cake, vous connaissez ? C’est simple, rapide et super bon. Voilà une recette facile d’un délicieux gâteau au chocolat individuel.

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Parfait pour les envies soudaines de chocolat, les fringales nocturnes et surtout, les super-flemmard(e)s.

Les ingrédients :

  • 40 g de chocolat
  • 40 g de beurre
  • 20 g de sucre
  • 20 cL de lait
  • 20 g de farine
  • 1 œuf

Faites fondre le chocolat avec le beurre. Ajoutez le sucre, puis la farine. Une fois le mélange à peu près homogène, ajoutez le lait et enfin l’œuf. Versez le tout dans un mug (ou ramequin, ou grand verre, etc.) et faites cuire environ 1 minute au micro-ondes (ou 1min 30, selon la puissance de ce dernier).

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Pour les amateurs de chocolat blanc, je vous conseille 15g de chocolat blanc et 25g reste de chocolat au lait, entre 30 et 35g de sucre : le chocolat blanc étant très sucré, j’ai fait des essais pour ajuster les doses. Vous pouvez comme moi saupoudrer d’éclats de noisettes, ça rajoute un côté croquant qui fait toute la différence je trouve.

À déguster devant sa série préférée, au chaud sous une couverture, avec un verre de lait froid ! Et en parlant de série préférée, je vous invite à lire mon article sur Battlestar Galactica, une série de SciFi que j’affectionne tout particulièrement 🙂

Les Cookies qui vous feront sombrer du Côté Obscur

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Ça va faire maintenant 10 ans depuis j’ai élaboré lors de petites vacances scolaires cette recette de cookies improvisée avec une copine. À l’époque, on était pas hyper connecté, elle vivait à la campagne = pas Internet. Eh oui, ça ne fait « que » 10 ans, et ça doit sembler aussi vieux que le Minitel dans les oreilles des plus jeunes. Qui en fait ne comprendront même pas la référence. Bref.
Toujours est-il qu’en 10 ans, j’ai masterisé cette recette, qui me vaut maintenant une petite réputation auprès de tous mes proches (et accessoirement des demandes pressantes régulières).

La voici donc, en images, avec des photos prises par mes soins. Ça me semble plus clair que de suivre une recette écrite, mais si vous souhaitez des précisions, n’hésitez pas à demander !

Ingrédients :

  • 250g de farine
  • 175g de sucre roux/cassonade
  • 125g de beurre salé
  • 1 tablette de chocolat pâtissier
  • 2 œufs

Cuisson :

  • 150°C / Th. 5
  • autour de 9 minutes, à surveiller (même s’ils ne dorent pas beaucoup, ne jamais laisser plus de 12 minutes, ils perdent tout leur moelleux)

Cookies-01-LQ Cookies-02-LQ Cookies-03-LQQuand c’est cuit (que ça ressemble à certaines photos de la bannière tout en haut, selon le chocolat choisi), il ne reste plus qu’à déguster ! Délicieux chauds (parce que le chocolat fond encore…), ces cookies se conversent très bien et restent très bon même 3 semaines après (s’il vous en reste d’ici là !) mais du coup, c’est idéal pour avoir ses cookies faits maison en permanence, surtout que ça revient moins cher que ceux en paquet.
Il ne reste plus qu’à investir dans une boîte à cookies !

Battlestar Galactica, série SciFi à ne pas manquer

Mon coup de cœur en série de l’année 2012 :

La série Battlestar Galactica. Je parle de la série qui a été diffusée sur Sky One, de 2004 à 2009 (pas celle des années 80, que je n’ai pas encore vue).

BSG

Une série de SciFi, où s’opposent les humains et les Cylons. Ces derniers sont la création de l’Homme, mais se sont rebellés et ont disparu après un conflit entre les deux espèces. Les humains occupent 12 planètes, appelées « les 12 colonies ».

Après 40 ans à vivre dans la paix, alors qu’un des plus vieux vaisseaux de la flotte militaire s’apprête à devenir un musée, le Battlestar Galactica, les Cylons attaquent à nouveau. Environ 50 000 êtres humains survivent à ces bombardements nucléaires. Les survivants se voient dans l’obligation de fuir pour sauver ce qu’il reste de l’espèce humaine et de partir à la recherche d’un nouvel endroit où s’installer.

Mais les Cylons ont évolué… et il existe 12 clones Cylons à la forme humaine, infiltrés parmi les survivants.

Sans en dire plus sur l’intrigue, cette série de science-fiction est très riche. Déjà de par le thème évidemment, l’exode de l’espèce humaine, poursuivie par sa propre création.

Mais également par tous ces petits détails qui nous plongent vraiment de l’univers : le moindre élément du décor est réfléchi, cohérent avec cette civilisation légèrement plus avancée que la nôtre, mais à l’évolution si similaire. Les questions de politique et religion sont abordées de chaque point de vue, et selon différents contextes (en temps de paix, en temps de guerre).

Sans compter le plus important, la question existentielle soulevée par la série selon moi : à quoi tient notre humanité ? Ces clones, biologiquement identiques aux humains, sont-ils si différents de nous ? Créés par des machines, sont-ils nécessairement dénués de sentiments, d’émotions ?

Et parce que je suis vraiment fan de la série, je vous montre mon petit plaisir de fangirl : un T-Shirt customisé par mon cousin, qui mélange l’emblème de BSG et ma citation préférée de mes deux personnages favoris, initialement prononcée par Commander Adama, et reprise à un moment important par la (magnifique) Sharon. En plus ça fait référence au jeu de rôle, que demandez de plus ?

« Sometimes you gotta roll the hard six »

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Au plaisir d’échanger avec vous à propos de cette série, bon visionnage !